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FORMATION PROFESSIONNELLE AGRICOLE : NOS POSITIONS
La formation professionnelle agricole : Le fonds VIVEA
La formation professionnelle, un maillon fondamental dans notre démarche d'accompagnement et d'Agriculture paysanne pour tendre vers plus d'autonomie
La formation professionnelle, un maillon fondamental dans notre démarche d'accompagnement et d'Agriculture paysanne pour tendre vers plus d'autonomie
La formation est plus que jamais un outil indispensable pour accompagner tout individu tout au long de son parcours. La complexité du métier de paysan·ne rend nécessaire un accès significatif au droit à la formation pour chacun·e, quelle que soit sa situation, son parcours et ses besoins.
NOS OBJECTIFS
À travers les formations du fonds VIVEA, les paysan·nes acquièrent des connaissances, d'autres façons de penser, ils·elles partagent leurs expériences, tissent de nouveaux liens.
La Conf' réaffirme la place fondamentale que doit occuper la démarche d'AUTONOMIE pour les paysan·nes (et en devenir) dans les politiques de formation.
La politique du fonds VIVEA doit impulser une offre de formations diversifiée et innovante, qui va du renforcement des compétences indispensables au métier de paysan·ne jusqu'à l'expérimentation de dispositifs comme tester des formations innovantes autour de : l'enjeu d'installer/transmettre, développer les pratiques agroécologiques paysannes ou se familiariser à l'usage des pratiques de communication pour travailler avec les outils d'aujourd'hui qui ont démontré une réelle utilité, sans tomber dans une dépendance excessive à un système d'intelligence artificielle).
NOS REVENDICATIONS
Revisiter la stratégie de VIVEA etre-prioriser la politique du fonds autour du renouvellement des Générations de manière à disposer d'une politique forte, transversale et attractive autour de l'axe Installation-Transmission.
Étudier la révision du plafond annuel de droit des contributeur·rices au fonds VIVEA et le revaloriser pour les PP, en parcours à l'installation.
Soutenir, selon un cadre à fixer, des dispositifs de formation autour de l'utilisation de plantes en élevage, dans les soins apportés aux animaux (aromathérapie, phytothérapie), en lien avec des objectifs nationaux de réduction de l'usage par exemple des antibiotiques.
Expérimenter : une politique de financement des formations d'un côté, plus vertueuse pour les pratiques paysannes agroécologiques et de l'autre, moins incitative sur des approches agricoles aux externalités négatives pour l'environnement et la société.
NOUS DEMANDONS AUSSI :
NOUS DEMANDONS AUSSI :
Une étude concernant les agriculteur·rices fragilisé·es qui, face à des dettes à payer à un moment de leur carrière, ne peuvent régler leur cotisation VIVEA tant que les autres dettes n'ont pas été apurées. Ces dernier.ères se retrouvent sans droit à la formation.
Une révision statutaire de VIVEA pour une gouvernance davantage pluraliste et représentative du secteur en évolution, représentant la diversité des agricultures et des acteurs agissant au sein de la formation professionnelle.
A visionner
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| Trois questions à Charlotte Kerglonou-Mellier sur l'action à VIVEA | Action de la Confédération paysanne au conseil d'administration de VIVEA |
